Darcy trottait tranquillement quand il sentit l'air changer et le sol aussi. Il s'arrêta et regarda autour de lui. Il se trouver devant un pont en bois, autour de se pont l'odeur des bipédes était forte.
Il coucha ces oreilles et ouvrit grand ces yeux.

Seconde fois que je venais ici. La dernière fois, je n'avais pas bien visité cet endroit, car j'avais fait une mauvaise rencontre. Mais cette fois ci, j'étais bien décidé a ne pas avoir peur ! Et je savais comment m'en sortir...

C'est alors qu'entre les branches je vis un étalon. Un étalon bai. Beau, robuste. Mais qui semblait inquiet, ou peut être bien en colère. Aller savoir pourquoi. Je respirais un bon coup, sachant pertinemment que cet étalon là était bien moins imposant que l'autre, le frison, rencontré auparavant. Sa devrait aller, non ? Je fis un petit appel de langue, tout en tendant ma main devant moi, m'avançant très lentement et a tout petits pas, à la fois pour qu'il s'habitue à ma présence, et a la fois pour ne pas trop m'approcher, au cas où il déciderait de m'attaquer.

Darcy qui regardait de tout les coter enttendit soudainement un petit claquement. Cela le fit sursauté, il tourna la tête vers le bruit et vit un bipédes qui lui tendait la main.
Ce bipédes était différent de ceux de son enfance, elle était plus jeune et mions bronzer. Cela l'intrigué mais il n'osait pas trop s'approcher d'elle.
Il renacla bruyament, tapa du pieds et avanca d'un pas puis s'arêta.
Il avait envie de la sentir et de la regarder mais sa peur l'empécher d'approcher.

Lorsqu'il renâcla et tapa du pied, je fis un brusque saut en arrière. J'avais toujours eu peur des chevaux, et là, j'étais sur mes gardes, même si j'espérais fortement qu'il ne m'attaque pas. Il semblait pouvoir être très gentil, mais en ce moment, c'était de la peur que je lisais dans ses yeux. Dans ma langue natale, je murmurais quelques mots :

"Vse moi krasivye sladkie..." (tout doux mon beau...)

Je ravançais encore un peu puis m'arrêta. S'il voulait venir, il viendrait. Je ne le forcerais pas. Aussi, pour paraitre moins impressionnante, je m'assis par terre, sur le sol encore un peu mouillé, en tailleur, mes mains sur mes cuisses. Je devais même pas lui arriver au poitrail ainsi assise sur le sol.. S'il décidai de me foncer dessus, j'étais vraiment mal barré...

Darcy dressa haut ces oreilles quand il entendit le bipédes parlait, cette langues était différente de celle qu'il avait entendue dans sa jeunesse.
Il était encore plus suprit quand la jeune fille s'assit par terre. Il s'approcha d'un pas d'elle et s'arrêta il était encore trop nerveux pour l'approcher. Il resta donc sur place et la regarda longtemps avant de se mettre a brouter tous en la surveillant du coin de l'oeil.

Je fus agréablement surprise quand l’étalon redressa les oreilles. Il s’approcha de moi et se mit à brouter tranquillement. Mais malgré son attitude paisible, je savais qu’il m’observait. Je reposais ma main sur ma cuisse tout en continuant à l’observer. Il était grand. Il avait une magnifique robe. Et son visage, je le trouvais tout simplement magnifique. Oui, les chevaux étaient de sublimes créatures. Je continuai, toujours en parlant russe :

« Ty prekrasna » (tu es splendide)

Pourquoi parlais-je dans cette langue ? Car au départ, mes parents étaient russes. J’avais appris cette langue pour pouvoir communiquer avec eux. Puis j’avais appris le français, l’anglais et l’espagnol. Mais finalement, j’avais changer mon nom de famille russe pour un nom de famille portugais, ‘Lafuente’. Car j’étais née au Portugal. Avant d’aller en France. Et le Portugal était gravé dans mon cœur pour toujours…

Darcy observer de plus en plus la jeune bipédes. Sa langues l'intriguait et puis elle semblait calme même si il sentait qu'elle avait un peu peur.
Il releva la tête de quelques centimétre pui s'avanca encore d'un pas. Il se re trouver désormais a un métre d'elle.
Il la regarda dans les yeux puis ronfla.

Il me regardait de ses beaux yeux noirs. Je tendis a nouveau ma main dans sa direction, avec l’espoir de pouvoir frôlais ses naseaux. Oui, au moins ses naseaux sombres qui semblaient si doux. Je fis a nouveau un appel de langue, comme pour l’incitais a approcher. Je n’avais hélas aucune friandise, mais j’espérais que ma présence l’intéresserait assez pour qu’il s’approche et qu’il comprendrait que je ne voulais ni l’attraper ni rien, juste pouvoir passer du temps avec lui. Et lui ouvrir s’il le souhaitait la possibilité de gagner la vie captive… Mais en aucun cas je le contraindrais ! Je respectais les choix des chevaux, je n’aimais pas les forcer. Leur présence dans la vie sauvage ou même vie captive suffisait amplement pour mon bonheur…

Quand la jeune fille rentendit la main Darcy eu peur et recula de trois pas. Un fois ces trois pas fait il s'arrêta et regarda la jeune fille qui tendait toujour sa main. Il soufla bruyament et s'approcha a nouveau de la jeune fille. Il était tellement prés d'elle que son soufle soulevait ces cheveux, il baissa la tête et renifla la main de la jeune fille.

J’avais malencontreusement fait peur au cheval. Il avait subitement reculai mais avait finalement réavançais. Il était si près ! Mais cette fois, j’avais décidé de ne pas bouger, de ne rien tenter pour ne pas l’effrayer. Son souffle et si chaud ! Et, en cette journée d’automne, un peu de chaleur ne faisait pas de mal.

“Interesno, kak vy nazyvaete vy…” (je me demande comment tu t’appelle…)

Darcy regarda dans les yeux de la jeune fille. Bizarement il venait de comprendre se qu'elle lui avait demander.
" Darcy "
Il savait qu'elle n'allait pas le comprendre mais il lui répondie quand même. Puis prenant son courage a deux mains il possa ces naseaux sur la main de la jeune fille tout en la regardant dans les yeux.

Il posa alors ses naseaux sur ma main et je ne pus m’empêcher de sourire. Je m’abstins de lui caresser avec douceur le chanfrein, sachant que je l’effrayerai surement. Toujours le sourire sur les lèvres, heureuse de ne pas l’avoir faire fuir, je soufflais avec douceur sur ses naseaux veloutés. D’une voix rassurante, je lui murmurais :

« Làà Grand… »

Je ne savais pas trop comment le nommait, même si une petite voix me soufflais un prénom qui aurait pu lui allait à ravir. Aussi, je me contentais d’utiliser des adjectifs pour lui, comme ‘Grand’ ‘Beau’…

Darcy regadait toujours la jeune fille. Cela fesait longtemps qu'il n'avait pas eu de contacte avec un bipédes. Maintenant il était calme car il remarquais que la jeune fille lui voulait aucun mal. Il se mit donc a brouter tranquillement a côter d'elle.

Il se mit alors à brouter, surement moins apeuré qu’au début, plus en confiance. Mais si je voulais pouvoir le caresser, il ne fallait pas que je brise tout, tout de suite, il me faudrait surement du temps pour l’apprivoiser, pour qu’il s’habitue a moi comme une présence inoffensive pour lui. Je soupirais, fort consciente du fait qu’il allait me falloir de la patience et de l’acharnement. Mais bon. Il fallait bien payer ce prix là pour avoir la satisfaction de le caresser et peut être même de gagner son amitié...

Darcy continua de brouter un petit moment. Puis il s'alongea et se roula avec bonheur dans l'erbe fraiche, il se releva d'un coup, se cabra et partit dans un petit tête a cue. Puis il reviens vers la jeune fille tout crotter et esoufler.

L’étalon se roula alors et partit en coup de cul. Je ne compris pas vraiment pourquoi, mais je l’observais avec délice, profitant du spectacle. Il était si beau, à en coupé le souffle ! Lorsqu’il revint vers moi, je me relevais doucement pour ne pas l’effrayer, frôlais son encolure toujours avec de la douceur et de la délicatesse et fis une moue désapprobatrice en disant :

« Oh ! Vilain ! Tu es tout sale ! »

Evidemment, je ne faisais que rigoler. Je n’avais aucune emprise sur le cheval et je ne pouvais pas lui reprocher de s’être sali. Avec un grand sourire ironique, je continuai :

« Vilain cheval va !.. »

Darcy frissona quand la jeune fille lui caressa l'encolure. Elle lui parlais et cela lui plaisait car elle avait une voie douce.
Darcy tourna sa tête vers elle et lui mordilla un peu l'épaule.

Il me mordilla alors un peu l’épaule. Il me fit mal mais je ne lui reprochai pas, car je savais que le but n’était pas de me blesser. Avec plus d’assurance je lui caressais tendrement l’encolure tout en prenant conscience de la chance que j’avais de pouvoir ainsi caresser un étalon sauvage. Vu la réaction qu’il avait eu la première fois qu’il m’avait vu, je pouvais assurer qu’il n’avait jamais vécu auprès des humains. Donc oui, c’était bien un étalon sauvage. Mais il était également très doux et patient, la preuve je pouvais le caresser sans qu’il s’enfuit.

« Nitstsa loshadi ... » (Gentil cheval...)

Darcy écouta la jeune fille parlait. Puis il lui donna un petit coup de tête et partit au trot la queu en panache. Il hénit et secoua la tête de haut en bas.
Il vit des allé retour de la jeune fille au pont.
" Allez viens jouer avec moi ! "

Je compris alors qu’il voulait jouer. Un sourire se dessina sur mes lèvres. Je me mis à courir à sa suite, faisant de grand mouvement des bras, tentant de me faire plus impressionnante même si le résultat était plus comique & ridicule.

Je le suivais et même si ma vitesse était plutôt réduite par rapport à la sienne, je devais avoir peut être autant de vitesse. Un sourire était dessiné sur mes lèvres tandis que je coursais maladroitement le bel étalon bai. A vrai dire, non, ce n’était pas un sourire, mais plutôt un fin rire cristallin.

Darcy était heureux, c'était rare que des gens veulent bien jouer avec lui. Il coursa donc la jeune fille qui le coursait ensuite. Quand tout a coup il entendit un petit bruit qui agréable a écouter, il se tourna et remarqua que cela venait de la jeune fille. Il se cabra et hennit de bonheur.
Il joua ainsit dix bonne minute quand Darcy s'allongea fatiguer d'avoir autant galopait.

Ce fut dix minutes de pur bonheur, dans un jeu de course poursuite. J’étais complètement exténuée. Je me laissais glisser à terre, près de l’étalon, tentant de calmer la course de mon cœur. Mon souffle était rapide & court, signe que j’avais bien couru aussi. Mais pourtant, j’étais heureuse. Qui avait pu avoir la chance de jouer avec un cheval, ainsi ? Celui-ci était tout simplement adorable, j’avais l’impression d’être avec un petit enfant de bas âge. Et même si je ne pouvais pas parler avec lui, j’essayais de lui transmettre ma joie de vivre et mon bonheur. Le bonheur d’être ici avec lui.

« Spasibo ! » (Merci !)

Merci, oui, de m’offrir ce bonheur. Car même si cela ne fait pas longtemps que nous nous sommes rencontré, je t’adore déjà. Mais je regrette de ne pouvoir te garder auprès de moi, car la vie sauvage t’appelle...

Dracy soufla un bon coup et coucha sa tête par terre et ferma les yeux. Il sentit la jeune fille se glisser contre lui, il fit rien pour l'en empécher. Il garda les yeux fermée et sentit le bonheur de la jeune fille.
* Moi aussi je suis heureux *
Pui il entoura son encolure autour de la jeune fille et commença a smonoller.

L’étalon m’entoura avec son encolure et je sentis sa chaleur me réchauffait. Je fermais les yeux, mon sourire toujours sur les lèvres. Je ne dormais pas, je me reposais pour récupérer un peu d’énergie. Au bout de quelques minutes, je rouvris les yeux, laissant mes doigts caressaient la robe de l’étalon tendrement tandis que je le regardais. Je murmurais alors, avec un éclair de génie :

« Darcy... »

Oui, voilà son nom. J’allais le nommer ainsi. Au pire, s’il n’aimait pas, il me le ferait comprendre. Je lui faisais confiance sur ce point là... Mes doigts parcouraient toujours sa robe dans des caresses douces. Je profitais de son poil soyeux et doux, malgré qu’il soit sale. Cela ne me gênait à vrai dire pas.

Si Darcy aurait était un chat il se serait mis a ronroner a la place et ronfla de bonheur et apuya son encolure conte la main de la jeune fille pour qu'elle continue de la caressez.
Il ne comprenait pas ce qui lui arrivait, il était calme, heureux et se sentait en sécurité au prés de cette jeune fille.
Il commençait a fair nuit mais Darcy n'avait pas envie de bouger.