Julian Sparkle. [ Femme ]

Montre-nous qui tu es

Julian Sparkle. [ Femme ] Capturedcran20100822232

▬ Nom : Sparkle
▬ Prénom : Julian, dite Jules
▬ Âge : 26 ans
▬ Sexe : Féminin
▬ Nationnalité : Américaine (Etats-Unis) naturalisée Canadienne
▬ Lieu de naissance : Seattle
▬ Sexualité : Hétérosexuelle
▬ Langue(s) parlée(s) : Anglais & Français

▬ Physique : On me dit jolie, mais jamais belle. On définit mes formes d’ « appétissantes » et on me siffle en soirée. Du haut de mes 1m68 j’attire vos regards coquins, mais ma bouche aux lèvres rosées vous remballe à coup de « casse-toi abruti » ou « ferme la gros nul ». J’ai du caractère et mes traits tirés le prouvent. Pourtant, mon épaisse crinière brune retombant sauvagement sur mes joues clairsemées de tâches de rousseur vous fait sourire, vous rend rêveur. Je n’ai pas la carrure d’une bodybiuldeuse - encore heureux me direz-vous! - mais j’ai le tempérament d’une lionne, ce qui compense fortement. Mes jambes sont dignes des plus grands podiums de mode, mais ne me servent qu’à mieux chevaucher mes terribles montures. J’inspire le respect, il faut le dire. D’autant que ma démarche n’est pas très féminine, je dois l’avouer. Mais à quoi bon se voiler la face? Je suis un peu garçon manqué sur les bords, vous faîtes avec, ou vous allez voir ailleurs.
▬ Particularité : Aucune!

Il était une fois ...

▬ Histoire : J’aimerais que mon histoire commence par « il était une fois » et se termine par « ils vécurent heureux ». Etrangement, ça s’en approche! Je suis née à Seattle, dans le brouhaha d’une des plus grandes villes américaines. Mes parents travaillaient ensemble dans une boîte qui fabriquait des punaises, et j’peux vous dire qu’ils n’occupaient pas de très bons postes! Ma mère était française, je dis « était » car elle est morte. Accident de voiture, un verre de trop et voilà ce que ça donne. C’était pas beau à voir, parole de scout!, j’étais sur les lieux. Mon père a mis du temps à faire son deuil; il m’en a toujours voulu d’avoir si vite tourné la page. Je suis comme ça, moi, je ne m’embarrasse pas d’un passé larmoyant. Il y a pire dans le monde. D’ailleurs, à l’âge de 18 ans je me suis tirée de la maison avec un groupe humanitaire. J’ai passé deux incroyables années en Ethiopie, à aider ces familles dans le besoin; que dis-je? Si affamées que la moindres boîte d’épinards que vos gosses répugnent est un repas royal à leurs yeux. Cette expérience a fait de moi ce que je suis maintenant : une femme forte et humble. Je me contente de ce que j’ai, mais je ne vous ferais pas la morale. J’ai trop souvent entendu des « et alors, qu’est-ce que tu veux que je fasse? » lorsque je disais « pense aux gamins qui crèvent de faim dans le monde ». C’est désolant. Quoiqu’il en soit, j’ai du remplacer ma mère dans ma famille. Nous étions 4, mes 3 frères et moi. Je suis l’aînée, mais aujourd’hui je suis libre. A 18 ans, donc, j’ai arrêté mes études. Je ne les ai jamais reprises. J’avais 14 ans quand ma mère est décédée, et je crois que ce sont ces 4 ans à devoir trimer pour ne pas finir SDF qui m’ont poussée à m’en aller. A mon retour d’Ethiopie, c’est une famille recomposée qui m’attendait à Seattle. Mon cher père s’était entre temps remarié avec une espèce de traînée de 50 ans en mini jupes vulgaires. Elle était, et est encore, affreuse. Horriblement gentille avec moi, comme si elle s’attendait à ce que je lui baise les pieds en signe de respect. Mais elle n’est pas ma mère, alors qu’elle aille se faire voir. Mon frère Jason a quitté la demeure familiale pour ouvrir son restaurant à New York; grossière erreur, être sans argent dans la grosse pomme, c’est comme affronter une horde de guerriers sans arme. Il a totalement coupé les ponts, plus un signe de vie. Je me demande même parfois s’il ne serait pas mort. Mes deux autres frères ont obtenu des bourses pour faire des études d'ingénierie. J’vous jure, deux vrais petits génies James et Jake (que des J, vous avez remarqué?). Ils iront loin, je suis on ne peut plus fière.
Que fais-je alors au Canada me demanderez-vous? Quand le jour de mes 24 ans mon père et sa péripatéticienne de deuxième femme se sont tirés pour vivre à Brasilia, j’ai comme qui dirait pété les plombs. Je vous promets que j’ai essayé de survivre dans la jungle de Seattle, mais je ne pouvais plus supporter la ville. Trop de ragots, trop d’injustices. Mes frères avaient déjà commencé leurs vies d’adultes, rien ne me retenait. On m’avait souvent parlé de ce pays, et thinks to you Google, tes photos m’en ont mis plein la vue! Je n’ai rien préparé, j’ai improvisé comme à mon habitude. J’ai acheté un billet aller simple pour Montréal et j’ai commencé MA vie d’adulte. Là-bas j’ai enchaîné les petits boulots, j’ai parfois même fait un peu de mannequinat pour des calendriers douteux. Et par le plus grand des hasards je suis tombée sur ce ranch, là, pas loin de Electric Avenue. Je ne connaissais rien aux chevaux, mais j’eu le coup de foudre. Pour l’endroit et ses habitants. J’ai postulé en tant que palefrenier, mais très vite le job m’a lassée. Ce que j’aimais c’était m’installer au milieu d’un paddock et observer ces canassons. Je dois dire qu’ils m’ont longtemps effrayée, je n’osais pas les approcher. Moi qui étais si forte, qui en avait vu des bien pires! Sebastian m’a forcé la main, le crétin. Il m’a donné un licol, un sceau de brosses et m’a enfermée dans le parc avec cette jument, une espèce de garce à quatre pattes. Ses mots furent : « Tu te démerdes, tu y passes 3 jours si tu veux, mais je veux que cette jument brille une fois que tu seras sortie de ce paddock.» Je n’ai pas bronché, j’ai bravé mes peurs, esquivé mes angoisses et affronté Lilly Rose.

▬ Caractère : Du caractère, j’en ai à revendre. Je vis à 100 à l’heure, ne me souciant aucunement de ce qui se passera demain. J’aime les surprises, et vivre ainsi me rend heureuse. Car heureuse, je le suis, et ça se voit. Pleine de jovialité, je suis pourtant réservée; je n’aime pas me mêler à la foule, je n’ai pas le don de converser avec les personnes que je ne connais pas. J’aurais bien vécu au 18ème siècle, tiens! Néanmoins, je suis loyale envers mes quelques amis, toujours là pour eux. J’ai toujours été la fille vers qui l’on venait en cas de problème. Etait-ce mon oreille attentive ou mon tempérament de feu qui les incitait à venir? Qu’en sais-je. Je pense que j’ai été psychologue dans une vie antérieur; rien ne m’échappe, j’écoute, j’analyse et je conseille. Mais ne venez pas me parler de vos problèmes de couple : je n’ai aucune expérience en la matière. On me dit romantique, ça ne se voit pas mais je suis un vrai marshmallow à l’intérieur. Je n’aime pas exprimer mes sentiments, encore moins mes émotions. Je suis courageuse et j’ai appris à me défendre contre la connerie humaine. Je ne suis pas butée, plutôt ouverte sur ce qui m’entoure. Mais quand je pense avoir raison, je sais que j’ai raison. Je n’ai aucun tact, toutefois. Souvent ma bouche perd le contrôle, comme si mon cerveau s’était complètement déconnecté. Dans ces moments là, il ne faut pas m’en vouloir. Je suis comme tout le monde, je mens, car que serait le monde si tout le monde était totalement et indéniablement honnête? On va dire que je nous préserve, ma conscience et moi. Je suis une campagnarde, je n’ai pas peur de mettre la main à la pâte. Je me moque des citadines qui arrivent en talons aiguilles, et j’ignore vos piques à zéro balle douze. Vous dîtes le contraire, mais je suis gentille; vous êtes juste crédules.
▬ Goûts : J'aime les couleurs ternes et passer inaperçue. Je mange équilibré, car je n'ai pas envie de devenir comme ces grosses vaches américaines qui mangent tous les jours au fast-food. J'ai des goûts raffinés, j'aime la cuisine française et je ne m'en prive pas. Par contre, il m'est impossible d'avaler du veau : je les préfère vivants que dans mon assiette (encore moins dans mon estomac). Je ne résiste pas à un pique nique sous un ciel étoilé; serais-je une romantique dans l'âme? Je touche à tout, je déteste dire « je n'aime pas » avant d'avoir goûté. Je suis une inconditionnelle des vieux films en noir et blanc, et Sartre est mon guide spirituel.

Toi, derrière l'écran

▬ Votre pseudo : Euphrosyne
▬ Parles-nous de toi : Je m'appelle Carole, j'ai 18 ans et j'habite dans les Alpes, pas loin de Grenoble. J'entre en fac de médecine, c'est pourquoi mon activité devrait nettement baisser à partir de Septembre. Cependant je ne veux pas pour autant me couper du monde, alors j'essaierai de rester présente. Je suis cavalière depuis mes 9 ans ("une fois cavalière, tu t'es épanouie" dixit mes parents), et propriétaire depuis décembre 2009. Un vrai bonheur que d'avoir mon bonhomme; Rio de Luz, 5 ans, Lusitanien gris. Je suis une fan incontestée de Peter Doherty, de Joe Wright et une inconditionnelle de How I Met Your Mother (: Je crois que vous en savez assez sur moi.
▬ Pourquoi vous êtes-vous inscrit ?: J'étais à la recherche d'un forum bien sympathique, sans vraiment savoir ce que je voulais vraiment. Puis d'un coup je suis tombée sur EA, j'eus le coup de foudre pour le design, j'vous jure! Et voilà, j'ai lu concept et règles, j'ai trouvé les photos pour mon personnage et je me suis lancée. Pas plus compliqué.
▬ Avez-vous une suggestion pour améliorer l'aspect du forum ?: Là, aucune.
▬ Avez-vous lu la Bible Sacrée en entier ? : Ok by Alysson
▬ Un dernier mot chanceux ?: Be happy, be lucky.

Rio de Luz ... j'ai déjà entendu ça j'suis certaine Razz

Tu n'aurais pas déjà fait un perso' avec ce nom par hasard, sur un forum quelconque ? =P

Sinon bienvenue I love you

C'est bon pour les codes ^^ J'attend la suite avec impatience (:

C'est tout à fait possible, je crois que sur un forum (JDR?) j'avais créé un personnage avec le nom de mon cheval.
Il ne me reste plus que l'histoire, et j'aurai terminé. J'ai un max d'inspiration pour ce personnage, ça fait un bail que je n'avais pas incarné un humain Very Happy