A jamais je te pardonnerais de ne pas m'aimer.

Il ne faisait ni chaud ni froid. Pourtant au fond de son être lancelot ressentait comme une partie de lui même gelée a jamais. Les traces du feu avait laisser des brûlures mal cicatrisée et des crins a moitier entamé. Un odeur nauséabonde de carbone et de peur s'en échapait. Une odeur de mort...

Il pleuvait doucement sur son pelage meurtri. La tête basse. Le plus si jeune animal se laissait aller au va et vient des échos que provoquait ses sabots sur le sol. Se mouvant comme un fantôme. Les jambes lourdes comme acroché a des étaux. Il ne releva la tête que pour vérifier qua'il n'était pas encore mort. Son soufflle mal assuré a cause des fumée jadis aspiré. D'une profonde inspiration il s'arrêta et fermit ses yeux. Pour laisser pénétrer la pluie au plus profond de lui. Peut être parviendrait elle a laver ses blessures interieurs. Le vent vint se mêler a cette douce bruit. Et lui crut soudain entendre des murmures au creux de son oreilles. Comme si une force nouvelle l'appellait. Un renouveau, une autre dimension. Le voilà libre,... Libre mais pour combien de temps ?

L'étalon resta la comme figée dans le marbre. Les yeux clos. Juste comme murmure le son de son coeur fatigué.
"Je suis la..."

( Désolé si c'est court ou mauvais ça va faire 8 mois que j'ai pas rp A jamais je te pardonnerais de ne pas m'aimer. 782201

A jamais je te pardonnerais de ne pas m'aimer. 782201

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Song

Indis marchais tranquillement cette journée la. Une journée tiède et quelque peu rafraichissante, l'arabe marchais calmemant dans ce sentier sinueux. Elle s'arrêta soudain, croyant avoir sentis une odeur. Elle ce mis au trot, en direction de ce qu'elle avait crus sentir être un sien, un cheval. La pluit tombai tranquillement sur le flanc de la jument, mais elle ne ralentis pas plus sont trot. Elle vit alors un étalon, un étalon qui semblais mal en point. Elle s'approcha tranquillement de lui, mais ne voulant pas l'appeurée, elle dit un léger :

<< Bonjour. >>

La jument avala ses paroles. Non mais, elle n'était pas sûr que ce cheval étais gentil, mais il semblait inofensif, bien qu'Indis croyais fortement ce tromper [...]

D'un mouvement brusque il tourna la tête. Ses yeux marrons pénétrant virent se figer le temps d'un instant. Puis le son eclata dans son oreille. Il fit un bref sourire ambigu et se tourna vers la demoiselle. Sa voix douce et posée murmura a son tour.

"Bonjour à vous. Je me prénome Lancelot."

Il posa son regarde pesant sur la belle jument. Elle avait l'air jeune. Si jeune,... et si pure. Blanche comme le neige et sa peau fraiche et éclatante de santé. Sa crinière dansant au vent le long de son encolure bien porté. Alors que lui ses formes rèches et imposantes lui donnait un air presque ridicule. Pourtant le port noble de son encolure reflétait en lui quelque chose de bon qui inspirait une sorte de respect.

"Que faites vous ici ? Jeune demoiselle."