L'étalon commencait disons à partir, je me levais doucement et l'attrapais par la criniére et tirais pour qu'il sois attentive à mes paroles, j'aimais pas être invicible, ni même passer pour le méchant gros loup de l'histoire. Je lui dit simplement :

- Je sais ce que font les humains, j'ai eu un passé. Mais de là a me dire que je suis inconsciente, et que je me méfis, non merci. Eloigne toi de cet homme, vient, suis moi. Je veux pas qu'il y ai un probléme entre toi et l'homme, je préfére que ce sois calme. Je suis sauvage, je l'ai juste rencontré, donc je suivrais plus toi que l'homme !

Je me mis au trot la queue en panache vers la prairie, je me mis au galop lui demandant de me suivre, l'homme comprendrait surement que je reviendrais, juste pour éloigné l'étalon d'ici, je ne voulais pas une guerre entre bipédes et équins.

Je voulais le croire, mais je savais pas quoi répondre... Je voulais pas qu'il se passe quelque chose entre les deux " mâles ", je roulais des yeux malgrès qu'il m'ai fait un geste que je n'ai surement pas aimer, mais bon, faut comprendre les mecs, ils ont rien dans le crâne. Je me reculais puis avanceais, je ne savais pas quoi faire, protéger le mâle pré à bondir sur l'homme, ou l'homme pré à lancer le lasso sur l'étalon. Ou alors me suivre, pas vraiment je n'étais pas lâche. Je dit à l'étalon doucement, et un peu plus inquiéte que toute à l'heure :

- Je t'en prie, laisse-le, il ne ta rien fait. Je veux pas qu'il t'arrive quelque chose, ou qu'il lui arrive un probléme, je préférerais me mettre devant toi et me battre avec toi dessuite si tu ne pars pas de l'homme. Je te préviens, je sais me battre ! {Ironique x'D}

Je ronflais des naseaux et gratté le sabot. Je me mis au trot et lui réattraper la criniére, même si il le prenais mal, je le ferais partir de là, avec moi ou non. Je tirais plus fort et lui marchais sur le sabot, impossible de déplaçeais un mec baleze, c'était de la triche 8(

L'étalon me montrait encore et une nouvelle fois son mécontentement... Je ne savais plus quoi faire, toute façon l'homme venait de monter sur une branche d'arbre. Je me mis au pas et m'allonger bien plus loins en attendant que la scéne se passe, malgrès que, je voulais partir au galop, mais je devais surveiller l'étalon qui voulait se venger du bipéde. Mais qu'elle idée de monter sur un arbre comme tarzan dite moi !? Je crois que il aurait mieux dû passer le pont pendant que j'occuper l'étalon, mais pas tout le monde peux être intelligent comme moi {Ironique}. Je me levais une nouvelle fois et sans doute derniére fois. Je poussais l'encolure de l'étalon avec la mienne, puis je me décallais et soulevais un peu mes membres et en le regardant d'un air un peu plus calme et posée :

- Il est en haut, laisse le tranquille. Partons, je t'en prie. Ne préfére tu pas aller au galop que d'attendre qu'il descende ?

Je me mis au pas et après au trot allongé pour m'éloigner un peu de l'étalon puis je me m'arrêter car je savais que l'étalon ne me suivrait pas malgrès tout...

L'étalon partit sans laisser de trace, enfin quelques une mais bon ce n'étais pas grave. L'homme était toujours percher comme le corbeau, il chantonnait un air. Je m'approcher de l'arbre et hennis puis tendis mon encolure vers le haut, attrapant deux ou trois feuilles, l'homme était trop haut. Je me mis au pas et m'allongeais au sol et me roulais puis attendis, les yeux fermés, sans crainte.

J'entendis l'homme descendre, et chanter de sa plus belle voix. Je lever la tête, et ronflais. Je reposais ma tête, j'avais plus envie de me relever, ni même de vivre. J'avais qu'une envie, rester là, sans vraiment bouger, juste écouté, écouté la nature, écouté ce qu'il se passe. Je soupirais et fermer les yeux. La terre était devenus sec, ma cuisse était crasse comme pas possible, dès que je me leverais, je m'enleverais ça dessuite avec mes dents ^^

Je levais un peu mon corps et toujours allonger façon ' vache ' je me mis face à l'homme l'écoutant. J'approchais ma bouche près de lui et secouais ma tête à la verticale puis j'humeais l'odeur de l'homme, ne savant pas sur quoi j'allais tomber. Je rester fixe un petit moment, mais rapidement je me gratter la cuisse pour enlever la terre sec, collé à mon poils, d'ailleurs sa fesais mal. J'essayer au début sans les dents, rien ne s'enlever, avec les dents j'enlever mes poils, alors tant pis. On verras avec mes amis les arbres (Aa)

Je n'avais pas très peur de ça, mais je baissais les oreilles au début puis je les remits droites et avanceais ma tête plusieurs fois comme pour dire un petit oui. Je frissonnais rien qu'a l'idée de ressentir les étris en fer sur mon corp, dans ma jeunesse... Cela voulais dire que l'on m'aimer, et qu'on aller me monter pour courir et sauter les obstacles, mais là, se ne voulais pas dire la même chose. J'en étais pour sûr !

Je resteais fixe, tous mauvais mouvement causerais quelque chose. Mais l'homme était doux, je me décontracteais doucement et colleais ma tête contre son épaule et disons me grattais à son épaule à la verticale, mais c'étais plus amicale que " Sa me gratte, tu est le seule arbre à ma porté. " non pas du tout, je n'étais pas comme ça. Je ronflais doucement et fermais mes yeux.

L'homme me touchait avec tous ses instruments, cela me déplaissais pas. J'ouvris les yeux et secouais ma criniére. Je me levais et m'ébrouais, je levais mon antérieur droit et le laissais en l'air. Je le pliais et fis tomber mes deux antérieurs au sol pour faire ce que l'on appelle chez les humains " Une Révérence ". J'attendais de voir la réaction de l'homme.

Je me relevais et partis au petit trop, la queue en panache. Je me mis au galop à fond et revins, je savais pas quoi faire, je m'arrêtais pas, je continuais, presque a lui foncer dessus. Je m'arrêter juste après l'avoir fait reculer un peu. Je cabrais en reculant sur mes postérieurs. Je repossais mes sabots au sol et m'ébrouais. Moment de folie, tout simplement. Je regardeais l'homme, sans vraiment savoir se que je voulais, je le regarder, avec mes perles noirs, les oreilles qui allait d'arriére en avant. Je frissonnais au niveau du garrot, mon passé, le barbelé... Enfin bref... L'homme était comme les autres, juste vouloir la confiance, et après s'en aller pour ne plus jamais revenir. Je m'éloigner de l'himme et me cachais dérriére un arbre, on voyait juste pas un endroit de mon ventre, mais bon, je rester dérriére pour faire comprendre à l'homme qui la confiance venais pas comme ça, j'aurais pu lui faire confiance, mais bon. Je savais que si je m'attachais, je pourrirais ma liberté.